Jeu de role

Moriar avait vu juste : le pendentif était magique ! Ce n'était guere étonant qu'un pierre aussi belle ne soit pas enchanté. Son sort de détection quoi que mineur, fit s'illuminer la pierre rouge.
Il ne put determiner cependant sa nature magique profonde.
Son sort lui revela que la pierre n'était pas maudite, ni néfaste.
Pendant la durée de son sort, l'amulette en argent brilla de mille feux dans la sacoche de Moriar.
Portant fierement son nouvel arc, il s'éloigna avec un pincement de coeur l'arbre de la driade pour aller trouver les druides. La fumée de la veile avait disparu... Au loin , un bruit peu rassurant parvint aux oreilles de Moriar : Des tambours ! Pas des tambours de fêtes autour desquels on danse. Des tambours de traque pour stresser l'ennemi et le pousser à la faute. Moriar choisit l'allure adéquat pour ne pas s'épuiser, éviter les piéges ou bien pour semer ces maudits poursuivants.
Aprés une heure de route, Moriar eut vraiment " eor dial ".
Une chance pour lui, il trouva sans peine un peu plus loin trois buissons de baies fort juteuses. Soudain, un bruit l'alerta.
Il se retourna en une fraction de seconde et aperçu le grand buisson qui bougeait. La faim l'avait-elle rendu imprudrent ?
Et là, surprenant Moriar qui n'avait pu prevoir qu'un telle chose lui arrive, la créture sortit trois fois plus grosse qu'a la normal se dressait maintenant devant moriar. Un lapin géant d'un metre vingt !!!! Que va faire Moriar ? ^^

Moriar avait déjà entendu parler de ce genre de lapins : il s'agit d'un lapin vorpal. Ces créatures passent leur temps à s'ammuser dans les bois et n'attaquent que si elles sont provoqiées. Cependant malgrès leurs airs de peluches elles peuvent se montrer très dangeureuses si on les provoque.

Moriar, n'ayant ni le temps, ni l'énergie, ni l'envie de se battre contre un lapin géant décida de calmer la bête en lui offrant quelques baies.

Moriar fixa donc l'animal géant dans les yeux, il avait apris que les animaux sauvages n'attaquaient jamais si on les regardait dans les yeux et s'approcha lentement de lui avec quelques baies à la main.

Arrivé à 2m de l'animal, il s'accroupit lentement et déposa les baies au sol avant de se reculer prudement. Toujours en fixant l'animal droit dans les yeux.

Les tambours de guerre étaient une chance, Moriar était donc prévenu qu'une puissance armée se trouvait à proximité. Lorsqu'il fut éloigné du lapin, il grimpa un à un arbre pour voir au loin...

Moriar laissa donc le lapin pour grimper à un pin pour y voir au loin. N'aillant pu mettre la main sur sa lourde armure avant de fuir les brigand, il n'eu aucun mal à escalader cet arbre fort petit comparé aux chenes ancestraux de sa foret natale. Il s'arreta un peu avant le sommet pour etre à l'abri des regards et observa les environs. Il vut que la foret n'était pas si grande mais qu'il se trouvait presque au milieu. dans la direction des tambours il regarda et aperçu plusieurs cavalier et une troupe de fantassins. Il chercha des yeux un campement plus amical que la nuit precedente mais sans succes : les peuples de la foret font de la discretion un art de vivre. Il put noter les differentes routes pour sortir de la foret ainsi que celles qui s'eloignait des activités humaines.
Tandis qu'il redescendait de son perchoir, Moriar nota le silence soudain. Quelques vols d'oiseau ne lui avait pas paru suspect puisqu'ils n'avaient pas été précédé d'agitation.
La ou était le lapin vorpal, se tenait une flaque de sang. Les baies n'avaient même pas été finies... Quelque chose ou quelq'un avait donc attendu qu'il grimpe pour attaquer l'animal et cela avec silence et fulgurance. Son amulette brilla de plus belle bien qu'il ne detecta aucune magie à 18 metre à la ronde. Plein de méfiance, Moriar réfléchit vite et bien sur la maniere d'agir...

Moriar n'ayant pas entendu de bruits métaliques, il se dit que le pauvre lapin vorpal devait avoir été tué par une créature sauvage et massive. Il décida donc de remonter rapidement sur son pin pour essayer de trouver le coupable de ses fins yeux d'elfe.

Su toutefois il ne trouvait rien, il estimerait la distance entres les arbres afin de tenter de sauter d'arbre en arbre et ainsi se déplacer sur les branches médianes des pins avoisinants...

Si au jugé, les arbres paraissent trop éloignés, il restera sur son perchoire une vingtaine de minutes si rien de nouveau n'es observé pour enfin redescendre et marcher prudement...

(ps, une chemise de mailles, c'est une armure légère, je n'avais pas une cotte de mailles totale au début du scénario, juste une chemise...

Moriar remonta rapidement tout en haut de l'arbre fluet et chercha l'agresseur du lapin géant. Et là, à une trentaine de mètre, il vut un Troll des forêts arlé d'un simple gourdin. Moriar peut l'attaquer par surprise facilement. ( for 14, dex 9 con 10 reflexe 0 degats 1D4 +1 chance d'étourdir.) Ce n'est pas un chaman, l'amulette a cesser de briller depuis la grimpette de Moriar.


Le troll emprunte le chemin inverse de Moriar, il ne sera pas un danger longtemps. Apres avoir décidé que faire du troll, Moriar doit choisir quel chemin prendre. Vers le Nord, ta direction initiale. Vers le Sud, la direction du troll. Vers l'est direction inexplorée. Vers l'ouest, suivre d'ancienne de pas que Moriar peut essayer d'identifier.
Aprés quoi Moriar devra chercher( ou pas ) un refuge pour la nuit.


dépendra de la vitesse de l'elfe a repondre.

( for 14, dex 9 con 10 reflexe 0 degats 1D4 +1 chance d'étourdir.) C'est quoi ça ? Un bébé troll ?!

Moriar savait que les trolls étaient des créatures violentes et puissants qui possèdent un atout majeur : la régénération. Un troll mis hors de combat se réveille si ses blessures ne sont pas aspergées de feu ou d'acide. Ne possèdant aucune arme de feu ni aucune fiole d'acide, Moriar décida de laisser ce troll en paix et de poursuivre sa route prudement. (toujours à 4 ou 5 m sur le côté de la route et en prêtant attention aux allans-tours : oiseaux, poussière, bruits, détection de la magie...)

D'accord Moriar tomba continua donc sa route dans une direction à laquelle il ne fit pas attention et tomba nez à nez avec un dragon vert et son enfant. Ce monstre faisait 15 metres sur 10 et semblait en colere. ( for 40 dex 35 con 50 pv 46 reflexe 5 degats 1D20 +7 contre les elfes )
Moriar se réveilla dans une paillasse infestée de parasites en proferant bruillament un terrible juron elfe "razgamaziel" .
Cherchant son arme, Moriar s'inquiéta de savoir où il était encore tombé... Etudiant minucieusement ce qu'il pouvait voir de sa couche, il déduit de ses observation qu'il était dans une tente en cuir.
Intérrompant incessament ses pensées, une créature fit irruption soudaine dans sa chambrée... Elle mesurait 1m75, était recouverte de poil, se tenait sur les deux pattes arrière set avait une tête de louve !
Moriar venait de trouver sans faire exprés le campement Lycan. la lycane n'eu pas l'air surprise par son éveil.
Elle lui parla en ces termes: " Mya Werf, hour vouf y Chanys ?
Si Moriar comprend le language lycan qu'il le dise et s'il fait des gros assez gros, elle comprendra peut-etre que l'elfe ne pige pas un traitre mot de sa langue. Elle poursuit malgrés tout: " Ji darf woom y Werf "

Bon j'en ai marre ça devient n'imp !
J'arrête là !

hé ben ... tant piiiiiiis !

Après s'être fait viré par sa famille ( on la choisit pas...)de sa forêt natale où il devenait vraiment insupportable même pour le vieux sage à la patience infini et le Chêne ancestral de son village, Moriar décidé d'aller faire fortune chez les humains qui était la race intelligente la plus proche. Sur la route, il croisa une troupe d'aventurier et engagea la conversion. Conversation qui finit en tabassage d'elfe toujours pour la même raison : son arragance elfique, son seul caractere un tant soit peu developpé. Moriar l'elfe se retrouva donc seul et sans arme dans le fossé du sentier qui menait à la ville de Pvelfendu. Moriar avait ouie dire qu'un magicien vivait là bas et qu'il pourrait sans doute l'aider. Il arriva en ville vers midi en boitant sous une pluie de cailloux lancé par les enfants qui n'aimaient pas ses oreilles tout cela apres avoir essuyé un orage. Il était bien fatigué et avait lu un ouvrage sur les humains, il s'arreta finalement à l'auberge de l'oreille longue crevée. ( nom fort original admit-il.)
Là, dans la taverne, grouillait aussi bien les rats et les insectes parasites. En fait, Moriar réussit se faire un peu d'éxperience en esquivant les divers ustensils coupant qui fusaient dans sa direction grâce au lancers des enfants fort adroits. Ce fut une nuit difficile pour l'elfe qui chopa sans doute une ou deux maladies. Malgrés son caractere, les puces géantes firent un festin d'une rare amertume. Levé trés tot( a vrai dire il n'avait que trés peu dormi), Moriar alla voir le mage en toute hate.
Cet abruti n'avait pas les objets que recherchait Moriar : de l'humour en tube, un anneau anti-mauvaise humeur, du spray anti-prisedeussérieux. En revanche, il avait une magnifique confiture de con, de la conserve d'impatience, divers babioles assez drôles comme des manuels pour tout et rien.
Notre Z-héros retourna à l'auberge sans un sous ce qu'il lui valu plusieurs dans une salle sombre avec une grosse matraque. Il fut jeté dans le caniveau comme un malpropre et se fit égorger lachement par un vaurien quelconque; De toute façon, n'importe qui avec un couteau beurre aurait pu y arrivé. Son cadavre fut bouffé par un chien à trois pattes qui mourru peu aprés son repas. Finalement on confia ses restes aux gobelins de la nuits qui s'amuserent beaucoup en se frappant la tête avec ses os.
Voici la destinée pathétique de Moriar l'elfe.


Plus vraisemblable non ?